
Si vous êtes sur cette page, c'est que vous voulez en savoir plus sur moi. Et bien ça tombe bien, car je vais vous parler de mon parcours et de mon histoire pour que vous compreniez mieux pourquoi je suis là.
Je suis né le 17 juillet 1988 à Angoulême, la ville de la BD (ne cherchez pas plus loin pourquoi j'aime autant les histoires) dans une famille aimante et soutenante.
J'ai eu une enfance douce et bien remplie. Grand curieux, ma maman et mon papa m'ont fait découvrir énormément de choses pour alimenter cette curiosité insatiable.
Très vite, j'ai adoré lire des livres que je dévorais par centaines, me plongeant dans les histoires d'aventures, de science-fiction et de fantasy, même pendant les vacances – au grand désarroi de mes parents qui auraient préféré que je contemple les beaux paysages !
Le rêveur en moi était né.

J'ai reçu mon premier ordinateur à 6 ans, ce qui à l'époque était très précoce, et j'ai découvert mes premiers jeux vidéo à ce moment-là. Par la suite, internet est arrivé et j'ai saturé le réseau téléphonique de mes parents, car un monde infini de connaissances s'offrait à moi.
Je bidouillais, je cassais et je recommençais.
Le geek était né lui aussi.

Nous déménagions beaucoup du fait du travail de papa, ce qui m'a obligé à m'adapter rapidement aux nouveaux environnements.
À l'école, j'étais un très bon élève, avec d'excellents résultats sans trop forcer, simplement en écoutant attentivement en classe.
2006, l'année de ma terminale
Arrive l'année de terminale avec le choix crucial de l'orientation (quand Parcoursup n'existait pas encore).
Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire, nous étions en décembre de l'année du bac...
J'avais exploré ma phase "pilote d'avion" (recalé parce que je porte des lunettes depuis tout petit) et... c'est tout.
Pourtant, un matin, je me suis réveillé avec une certitude : je voulais aider les autres et devenir médecin.
Aucun médecin dans la famille sur 10 générations ! Mes parents ne comprenaient pas ce choix soudain mais m'ont soutenu sans hésiter.
L'été du bac
En mars de cette même année, notre professeure principale nous a demandé à tous ce que nous voulions faire plus tard.
- "Qui veut faire fac de droit ?" 5 mains levées
- "Qui veut faire prépa ?" 10 mains levées
- "Qui veut faire médecine ?" 10 mains levées, dont la mienne
À la fin du cours, je me suis fait aborder par Ludovic, un camarade de classe que je connaissais peu. C'était ce type d'élève dont vous connaissez le nom mais qui n'est pas dans votre cercle d'amis proches, voire même un peu le rival pour la moyenne de classe !
Il est venu me voir et m'a dit : "J'ai vu que tu voulais faire médecine. Ça te dirait qu'on forme un binôme pour aller à la fac ensemble ?"
J'ai accepté rapidement, le gars était sympa et excellent en classe, c'était une bonne idée pour moi.
Puis nous n'en avons plus reparlé jusqu'à 15 jours avant le bac où il est revenu me voir en me disant quelque chose qui allait changer ma vie.
"J'ai un grand-oncle qui vit au Japon et ma grand-mère veut m'envoyer là-bas pendant un mois comme cadeau pour le bac. Mais je n'ai pas du tout envie d'y aller seul, alors je te propose de venir avec moi. Si ça se passe bien, c'est qu'on pourra bosser ensemble pour la première année de médecine."
À cette époque, je connaissais assez peu le Japon. En 2006, pas de YouTube, pas de réseaux sociaux dédiés au Japon, seulement 3 restaurants de sushis à Paris, c'était tout ! J'avais lu deux mangas, le rayon manga de la Fnac étant relégué au sous-sol avec trois livres se battant en duel.
Mais j'ai accepté cette opportunité inattendue, et me voilà avec mon billet pour le pays du soleil levant.
Le Japon, mon pays de cœur
Me voilà donc arrivé au Japon, l'été de mes 18 ans, dans un pays où tout était différent : la langue, les gens, la nourriture, la culture... Un dépaysement total !
Nous étions en 2006, bien avant qu'Amazon ne permette d'acheter n'importe quoi aux quatre coins du monde. J'ai découvert des technologies et des objets qu'on ne trouvait nulle part ailleurs.
L'oncle de Ludovic nous a emmenés dans plein d'endroits insolites, en dehors des sentiers touristiques classiques. J'ai passé probablement l'un des meilleurs mois de ma vie. Rien n'était comme chez moi et pourtant, je m'y sentais comme chez moi, une sensation assez incroyable.
Nous nous sommes très bien entendus avec Ludovic et sommes devenus des meilleurs amis. C'est encore le cas aujourd'hui malgré nos chemins différents.
Forts de cette amitié, nous nous sommes jetés dans la gueule du loup : la première année de médecine.
De 2006 à 2008 : mes deux premières années de médecine
La première année de médecine, c'est un peu la jungle.
On passe d'une ambiance de classe de terminale où tout est bien réglé (cours, contrôles des connaissances réguliers, vacances) à un environnement complètement différent. À la fac, et encore moins en médecine, rien de tel ! Concours très sélectif, beaucoup de prétendants, peu d'élus, avec une charge de travail bien au-delà de celle du lycée.
Ayant toujours eu ce que les professeurs appellent "des facilités" à l'école et n'ayant jamais vraiment travaillé pour réussir, je me suis planté royalement, loin derrière le numerus clausus et j'ai redoublé.
Mon ego en a pris un coup et je me suis remis complètement en question.
C'est à cette époque que j'ai découvert ce qui, plus tard, sera appelé le biohacking.
L'été avant de redoubler mon année, je me suis mis donc à optimiser mon corps au maximum :
- Je lisais un grand nombre de livres sur le sujet
- J'optimisais tout : mon sommeil, ma nutrition, mon cerveau
- Je tenais des cahiers où je notais quels aliments me stimulaient ou au contraire m'endormaient
- Je calculais mes chronotypes pour savoir quand manger, quand dormir, quand apprendre, quand me reposer
- Je suis devenu un expert de la power nap, la sieste qui booste l'énergie
Me voilà prêt à attaquer cette nouvelle année en mode machine de guerre !
J'ai réussi cette fois-ci beaucoup plus simplement et j'ai décroché ma première année de médecine. Par la suite, j'ai gardé toutes ces techniques d'optimisation tout au long de mes études, ce qui m'a énormément aidé pendant mon externat.
2008 à 2013 : mon externat de médecine
Mon externat de médecine s'est très bien passé, alternant cours théoriques et stages pratiques. Je me plaisais à découvrir le fonctionnement du corps humain et à comprendre sa machinerie si fragile.

Je continuais de jouer aux jeux vidéo, cette fois-ci un peu plus qu'avant, le jeu me permettant de reposer mon esprit après ces journées intenses.
En parallèle, fasciné par le fonctionnement du cerveau et de la mémoire, je me suis inscrit à un Master 1 de Neurosciences et neurobiologie des comportements.
J'y ai découvert que nous ne sommes que biologie et que nos émotions, pourtant si complexes, peuvent être réduites en grande partie à quelques molécules bien choisies.
Je décide alors de devenir neurologue.
Je passe en service de neurologie, pensant en apprendre davantage sur le fonctionnement du cerveau et affiner mon biohacking, mais je suis déçu par le manque de traitements curatifs :
- Une sclérose en plaques ? On ralentit la maladie mais on ne guérit pas.
- Une maladie de Parkinson ? On soigne les symptômes mais on ne guérit pas.
- Idem pour la maladie d'Alzheimer.
J'abandonne l'idée d'être neurologue.
Dans ma quête d'optimisation du corps humain, je continue de me former. Ayant maintenant accès à une littérature médicale spécialisée grâce à mes études, j'augmente encore mes connaissances : compléments alimentaires, micronutrition, fonctionnement neuronal...
Avec l'optimisation du corps vient naturellement la question du vieillissement. Je me passionne pour la science du vieillissement et je réfléchis à comment vivre un vieillissement plus harmonieux.
Je souhaite donc être gériatre (le médecin spécialisé de la personne âgée) et pour vérifier si cela me plaît, je fais un stage pendant mon externat.
Et là, même déception : beaucoup de patients âgés mais peu de prévention, on répare juste ce qui est cassé et on envoie en maison de repos. On est bien loin du vieillissement harmonieux que j'envisageais.
Je suis alors au milieu de mon année de préparation du concours de l'internat, qui s'appelait à l'époque Examen National Classant (ECN).
Complètement perdu, je ne sais plus pourquoi je travaille si dur pour ces examens. Viser un classement au concours sans but précis derrière n'a aucun sens pour moi et je n'arrive plus à travailler.
Après 15 jours en roue libre, je décide de faire une matrice de décision et de prendre le taureau par les cornes.
Je dresse une liste de toutes les spécialités qui existent puis, en regard, je fais la liste de tout ce que j'attends de ma vie professionnelle :
- Je veux une spécialité transversale et ne pas me limiter à un seul organe
- Je veux pouvoir faire de l'enseignement et éventuellement de la recherche
- Je veux une spécialité dynamique avec un équilibre pro/perso acceptable
Je barre toutes les spécialités qui ne correspondent pas a priori à mes critères. À la fin, il ne restait que deux spécialités : oncologie et radiologie. J'ai mixé les deux et j'ai choisi l'onco-radiothérapie. Je n'ai jamais regretté ce choix.

Remotivé, je redouble d'efforts et j'obtiens un très bon classement qui me permet de choisir radiothérapie à Montpellier, ma ville actuelle.
2013 à 2018 : mon internat et un heureux événement
Je deviens donc interne de radiothérapie et mon premier stage est un stage d'oncologie médicale à Perpignan.
Je suis le seul interne pour 22 patients ! Mes chefs sont présents mais la charge de travail reste énorme pour un interne seul.

Je finis régulièrement à 22h ou plus tard et je fais mes premiers constats de décès. Certains plus marquants que d'autres.
Je m'attache à certains patients que je perds, ce qui me fait très mal. Une fois, deux fois, etc., jusqu'au jour où c'est la fois de trop.
Je perds une jeune patiente que j'aimais beaucoup et avec qui j'avais beaucoup échangé.
Mon monde s'arrête, je pleure toutes les larmes de mon corps.
On ne m'y reprendra plus. Depuis cette expérience douloureuse, je connais parfaitement la limite à ne pas franchir : empathique oui, toujours, mais je ne me mets plus à la place des autres au point de m'y perdre.
Les années s'enchaînent et je progresse en cancérologie.
Le biohacking perd peu à peu son intérêt pour moi à mesure que je m'intéresse au développement personnel, confronté régulièrement à la mort. Optimiser son corps sans avoir de but à poursuivre ne me correspond plus.
Je discute avec des dizaines et des dizaines de patients sur leurs lits de mort, de même qu'avec leurs familles. J'en apprends énormément sur la psychologie humaine et les regrets de la vie.
Là où les gens ne meurent qu'une fois et font leur bilan de vie à ce moment-là, j'ai eu la chance de pouvoir faire cet exercice presque des centaines de fois, ce qui me donne un certain recul sur la vie.
Je troque mes 18 compléments alimentaires quotidiens contre seulement 5, et je me plonge dans la lecture de livres sur le développement personnel, fasciné par cette possibilité que nous avons de devenir meilleurs si nous le souhaitons.
Je progresse désormais plus rapidement en radiothérapie.
Une de mes cheffes me voit évoluer avec les enfants malades qui viennent faire leur séance et trouve que je suis très à l'aise avec eux.
Elle me propose de me former pendant 2 ans puis de passer le diplôme Inter-Universitaire d'Oncologie Pédiatrique.
Je réfléchis quelques jours puis je donne mon accord. Cette décision est, une nouvelle fois, un tournant dans ma vie.
Je pars donc 6 mois à Paris, laissant ma compagne à Montpellier, et je commence mon stage d'interCHU à l'Institut Curie dans le service de radiothérapie pédiatrique sous la direction du Dr Sylvie Helfre, qui deviendra ma mentor et amie.
J'y apprends énormément, Sylvie me transmettant tout son savoir tandis que je me transforme en éponge, absorbant tout ce que je peux : protonthérapie, pathologies rares, etc.
Je commence mon mémoire de pédiatrie avec le Dr Orbach, référence dans les sarcomes de l'enfant, et je publie ma thèse sous sa direction.

Je rentre à Montpellier riche d'expériences et épanoui.
Je m'inscris à un Master 1 de bioinformatique pour apprendre le langage des développeurs, mon côté geek se sentant un peu délaissé à ce moment-là.
L'année suivante, je me forme à la recherche en m'inscrivant à un Master 2 Biologie du Cancer.
Neuf mois et plusieurs centaines de PCR sur des lymphocytes irradiés plus tard, je termine mon stage de recherche et ma fille naît.
Je suis un homme heureux.
2019 à 2021 : mon clinicat de radiothérapie et la pédiatrie
Je deviens assistant des hôpitaux, j'ai mes propres patients et je donne des cours à l'école des manipulateurs et des infirmiers sur la radiothérapie.
Tout se déroule bien, même si le rythme est soutenu.
Pour me détendre, je joue encore beaucoup aux jeux vidéo le soir en rentrant, quand ma fille dort.
Je lis aussi toujours beaucoup sur le développement personnel. Mais comme j'écris peu, je retiens peu d'informations.
Je me forme donc à la gestion des connaissances et je découvre le concept de "second cerveau" – un cerveau numérique où l'on stocke le contenu que l'on consomme de façon à pouvoir le réutiliser facilement.
Aujourd'hui, ce second cerveau continue de se remplir avec près de 10 000 notes dans ma base de données !

Mais je fais face à un nouveau défi : je m'éparpille, je saute de projet en projet. Je suis l'homme aux 1000 projets... jamais achevés. Ce qui me frustre, mais à ce moment là je n'ai pas encore trouvé de solution.
2021 : l'année de l'épuisement... et du changement
Arrive la pandémie de COVID qui ne change pas tellement ma vie : pas de pause dans mon travail, pas de temps pour moi et toujours des malades à soigner. Je commence à montrer des signes de fatigue.

En radiothérapie pédiatrique, les enfants m'appellent "le docteur qui joue" car je parle de jeux vidéo avec eux, ce qui me plaît beaucoup mais ne suffit pas à me redonner toute l'énergie dont j'ai besoin.
Je travaille de plus en plus et j'ai de moins en moins de temps pour moi. La spirale est lancée, semblant inarrêtable.
La charge de travail s'accumule et j'ai du mal à tout gérer.
Un an s'écoule dans ces conditions difficiles.
Je finis tard tous les jours, parfois sans avoir le temps de manger.
Je ne fais plus de sport, je ne lis plus, je ne sors plus. La spirale s'accélère. Je ne me reconnais plus.
Je ne réalise pas pleinement ce qui se passe, écrasé par la responsabilité du traitement des enfants en radiothérapie qui m'incombe.
Ce n'est que lorsque ma fille me tire par le bras en demandant : "Papa, tu ne joues plus avec moi, pourquoi ?" que je prends conscience de la situation et que je décide de freiner cette course effrénée.
Après une longue réflexion, je décide de prendre de la distance avec mon travail à l'hôpital.
Je cherche un centre de radiothérapie à proximité de chez moi et je demande à y travailler.
En parallèle, je forme deux autres médecins pour pouvoir me remplacer à l'hôpital en radiothérapie pédiatrique.
Cet événement, à la limite du burn-out, dont ma fille m'a sauvé, m'a fait ouvrir les yeux sur de nombreuses choses, notamment ma juste place dans ce système.
Je me rends compte que j'ai besoin d'un autre objectif pour me lever le matin que celui de soigner les patients un par un. Je veux aller plus loin et avoir un impact sur un plus grand nombre de personnes.
2023 : l'inspiration et le renouveau
Quelques temps plus tard, j'intègre un centre de radiothérapie libéral.
J'ai plus de temps et de moyens pour réfléchir à ce que je veux faire. Je souhaite faire le tri dans mes projets et dans ma vie.
Je lis énormément sur le développement personnel et je suis fasciné par la capacité de l'être humain à se transformer. Je mets en place une routine pour aller au Japon me ressourcer une fois par an dans mon pays de cœur.

Devenu co-gérant d'une entreprise de 50 employés du jour au lendemain, sans compétences théoriques de management ou d'organisation, je dois tout apprendre depuis le début. Je lis beaucoup sur ces sujets.
En parallèle, je continue mon activité de radiothérapie pédiatrique à l'Institut du Cancer de Montpellier, mais sur une durée plus courte et secondé par un autre médecin que j'ai formé.
Je reprends des couleurs et j'ai de nouveau l'espace mental pour réaliser des projets.
Mais quelque chose s'est brisé dans ma manière d'exercer la médecine : je ne peux plus accepter un système où le patient est réduit à sa maladie et le soignant à sa prescription.
Je prône désormais une médecine plus intégrale qui prend en compte davantage de dimensions que ce que l'on m'a enseigné sur les bancs de la faculté.
Avec l'arrivée de ChatGPT et son utilisation simple et intuitive, mes capacités à imaginer des solutions et à croiser des concepts se trouvent décuplées. Je teste, je crée et je recommence sans cesse.
C'est ma nouvelle passion, au point que j'en oublie même les jeux vidéo !
Je veux maintenant rencontrer des personnes avec qui avoir des conversations profondes et pouvoir parler de mes projets à des gens qui me comprennent.
Je commence donc à écrire sur LinkedIn, sans filtre. J'exprime qui je suis, ce que je fais et ce que j'aime. Et les gens répondent présent ! J'échange avec nombre d'entre eux et certains deviennent des amis.
En parallèle, lors d'un voyage au Japon, je repense à une situation difficile que j'ai vécue avec un enfant malade. Je prends la flotte dans la rue et je suis "sauvé" par un robot dans un magasin qui me tend une serviette avec un grand sourire. J'ai alors le déclic ; si un robot m'a aidé moi, il pourrait aussi aider les enfants malades dans la pièce de radiothérapie, là où personne d'autre ne peut aller.
Je cherche alors longuement et je finis par trouver le robot qui correspond exactement à ma vision : un petit robot attachant, multifonctions, avec une histoire captivante pour les enfants comme pour les adultes, Miroki de la société française Enchanted Tools.
Je lance alors ce qui est aujourd'hui mon plus grand projet : déployer ce robot dans la salle de radiothérapie pour accompagner l'enfant malade afin qu'il ne se sente plus jamais seul dans cette pièce sombre.
Pendant un an et demi, je me bats pour que le projet existe, soutenu par des personnes au grand cœur. Enfin, après de nombreuses réunions et débats plus ou moins houleux, le projet démarre officiellement en octobre 2024.

Et là, tout s'accélère : la télévision vient m'interviewer, mon compte LinkedIn gagne 2000 abonnés supplémentaires en 2 mois, et je suis invité dans la Silicon Valley pour présenter mon projet !
2025 : accélération
Aujourd'hui, j'ai une vision beaucoup plus claire de mes projets et de ce que je veux accomplir.
Pour atteindre mes objectifs, je dois partager ma vision de la médecine et de la vie telle que je la conçois avec encore plus de personnes. Peut-être que cela en inspirera d'autres à suivre leur propre chemin et à se poser les bonnes questions.
Pour cela, la technologie me permet de démultiplier ma présence et de diffuser mes idées plus largement.
Mon objectif pour 2025 est donc de gagner en visibilité et de poursuivre et développer tous mes projets.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout. Si cette lecture vous a plu d'une manière ou d'une autre, je serais ravi d'échanger avec vous.
À ce stade, vous pouvez :
- Lire mon manifeste où je partage ma vision de la médecine, de la technologie dans le soin et de la vie en général.
- Me retrouver aussi sur LinkedIn, je publie chaque semaine ce qui m'aide à réfléchir sur les sujets précédents.